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                             VOSGES TROTTERS MULHOUSE 

éditorial (mars 2005)               Ca marche

            L'hiver qui se termine vient de nous apporter de belles satisfactions: ski alpin, randonnée à ski, sorties pédestres, gestion du chalet ont, chacun dans sa spécificité, témoigné d'une fructueuse activité.

            En ski alpin, nos jeunes comme nos anciens ont été plus d'une trentaine à participer aux courses et à récolter moult lauriers. Plusieurs victoires et de nombreux podiums jusqu'au haut niveau ont ainsi enrichi le palmarès sportif de notre équipe. Bravo à tous les coureurs qui ont souvent dû braver froid et tempêtes, bravo aux coachs pour leur inlassable passion à diriger une équipe dynamique et bravo à tous pour le succès de l' organisation du slalom Coupe d'Alsace du 13 mars.

            En randonnée à ski, succès de participation aux sorties qui ont pu se dérouler normalement. Ainsi nous étions 23 pour le week-end en Forêt Noire du Sud et 18 pour le séjour nordique à La Féclaz - Mt Revard (Savoie).

            En début de saison, lorsque la neige était absente, les randonnées à ski ont été systématiquement remplacées par des sorties pédestres qui ont vu une participation record, quasi plus forte qu'en été: 31 marcheurs fin novembre, 23 mi-janvier.

            Enfin, pour le refuge, la saison d'hiver a elle aussi connu un bon bilan de fréquentation, surtout pendant les congés de février.

            Bref, dans la plupart de nos activités, on peut dire que "ça marche."

            Place désormais aux sports d'été dont les programmes figurent dans le présent bulletin. A côté des nombreuses activités traditionnelles proposées les samedis et dimanches (merci les guides), une nouveauté viendra enrichir notre calendrier cette année: les sorties pédestres du jeudi pour les membres disponibles en semaine (pas seulement les seniors).

            Souhaitons bonne réussite à toutes ces activités et espérons qu'en fin de saison on pourra aussi conclure: "ça marche".

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Editorial Novembre 2004                   Félicitations

« Félicitations pour le travail accompli », voilà les mots de conclusion de la commission de sécurité qui, mi-septembre, a inspecté notre chalet du Markstein et l’a déclaré conforme pour 5 ans aux prescriptions pour l’accueil des membres et du public. Ces éloges, certes assortis d’améliorations de détail qui seront rapidement honorées, font chaud au cœur de tous ceux qui contribuent à l’entretien général du refuge, mais en particulier à l’équipe qui, sous l’impulsion constante du président Jean Jacques, n’a pas ménagé sa peine depuis plus de 10 ans pour améliorer la sécurité des séjournants et mettre en œuvre toutes les directives officielles.

Félicitations encore de J.Paul Marx, président du CRMV (Comité régional de ski) pour notre dynamisme sportif et la ponctualité du travail de notre trésorier adjoint Dany Vonderscher dans l’établissement des cartes-neige.

A ces bons points venant de l’extérieur, il faut ajouter un bravo à tous nos membres qui ont répondu massivement à l’appel du Comité en participant nombreux :

      - au week-end de travail au chalet les 11-12 septembre. Nous étions 35 au lieu de 20 au printemps, ce qui a permis la réalisation d’à peu près tous les travaux envisagés

      - à la manifestation « Tout Mulhouse court » du 19 septembre. 45 VTM sont venus allier sport et solidarité

      - à l’assemblée générale du 26 septembre au Markstein, où près de 120 personnes étaient présentes et 104 repas ont été servis.

Félicitations encore à nos entraîneurs alpins François Prost-Dame et Dominique Rapp qui, pour la 5e année et avec l’aide de plus de 60

 membres, ont pleinement réussi l’organisation de notre Bourse aux skis des 13-14 novembre.

Souhaitons maintenant qu’après la forte participation aux sorties pédestres d’automne, les activités hivernales (compétitions alpines, randonnées à ski, séjours au chalet) connaissent elles aussi succès et bonne fréquentation.

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   73e Année - Novembre 2003 (Année du Centenaire)                    4etrimestre                        N°153

Editorial Novembre 2003                                      S'ouvrir à l'avenir

Voilà maintenant passé l'essentiel des festivités du Centenaire de notre fondation. Des festivités qui ont été à la hauteur de nos espérances, à la fois par la qualité et par le succès de participation qu'elles ont connu auprès des membres. Que tous soient remerciés pour leur contribution.

Il nous reste encore la soirée de projection spéciale centenaire du 28 novembre, et également l'an prochain l'organisation d'une course de slalom le 21 mars pour commémorer le centenaire du premier concours de ski que nos fondateurs avaient organisé en 1904 au Treh.

Forts de la réussite de toutes ces manifestations, nous pouvons maintenant envisager l'avenir avec confiance. Mais J'avenir est à construire et ne nous sourira que si nous savons nous ouvrir aux innovations, si l'équipe dirigeante et l'ensemble des membres font preuve de créativité et de bonne volonté. Certes nous avons des points forts dans nos activités et dans la gestion de notre patrimoine, mais quelquefois la participation d'un plus grand nombre de membres serait nécessaire pour que le feu sacré des responsables ne s'éteigne pas prématurément.

Alors tous ensemble, jeunes et anciens, unissons nos élans, nos motivations et notre savoir-faire pour continuer à faire des VTM une association dynamique, novatrice, ouverte aux autres, où le bénévolat et l'esprit sportif nous apportent de nouvelles satisfactions.

Les occasions ne vont pas manquer puisque, après la réussite de la bourse aux skis, va démarrer la saison hivernale avec ses courses alpines, ses stages, ses randonnées et ses organisations.

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  Calendrier VTM du trimestre en cours

            3 avril               Course interne de ski alpin, Markstein (10h)

5 avril               Assemblée des membres, Pfastatt

14 avril             Sortie du jeudi

17 avril             Sortie pédestre, Bourbach-le-Bas

21 avril             Sortie retraités, Mertzen

23 avril             Sortie surprise, Sundgau

28 avril             Sortie du jeudi

1er mai              Sortie inter VT d'Alsace, Sélestat

3 mai                Assemblée des membres, Pfastatt

8 mai                Randonnée pédestre, Brézouard

12 mai              Sortie du jeudi

21-22 mai       Week-end de travail, Markstein

26 mai              Sortie du jeudi

4 juin                Sortie surprise, Metzeral-Wesserling

5 juin                Marche d'orientation, Cernay

7 juin                Assemblée des membres, Pfastatt

9 juin                Sortie du jeudi

12 juin              Randonnée pédestre, Haïcot

23 juin              Sortie du jeudi

26 juin              Sortie pédestre, Feldberg

26 juin              Tournoi de volley-ball, Markstein

Les assemblées mensuelles ont lieu au foyer St Maurice à Pfastatt à 20h 

Autres dates à retenir dès à présent :

- 22 mai et 18 septembre : week-ends de travail au chalet

- 30 septembre (vendredi) : assemblée générale à Pfastatt

- 29 novembre Projection annuelle de photos, chapelle St Marc Bourtzwiller

                        Responsables : J.Pierre Zimmerlin (03.89.50.38.67) et André Doll (03.89.42.34.39)

                                                                                                                                                                                                                               Go to top                      

PROGRAMME  DES  SORTIES  DE  L' ANNEE  EN COURS

Année 2005 :

janvier

 

février

 

mars

 

avril  

3 avril     Course interne de ski, Markstein (10 h)

14 avril (jeudi)         Saint-Amarin (410m) – Mülhüser Brennala (655m) – Geishouse Hoehe  - Haberkopf  (872m) – Merbaechel (725m) – Wueste Ruecken  – pt 729m – Hintervogelbach – St-Amarin  4h de marche   Rendez- vous 9h Eglise de Lutterbach ; 9h 45 Salle des fêtes de St-Amarin (centre ville).  

17 avril             Sortie pédestre de printemps: Lauw (parking cimetière entrée village, 377m), sentier géologique Sentheim, Bourbach-le-Bas (380m), Saegkopf (500m), Lauw. (15 km, montée 300m, marche 5h). Repas tiré du sac au refuge AN de Bourbach-le-Bas (boissons sur place). Rdv 9h00 parking Brico Dépôt à Morschwiller. Guides : D. et B. Vonderscher (03.89.44.57.61)  

21 avril  (jeudi)  Sortie carpes frites pour les anciens, Mertzen. (voir détails dans le présent bulletin Rubrique <Annonces diverses> ). Responsable: Alb. Maeder (03.89.52.23.90)

23 avril (samedi)  1ère sortie pédestre « surprise » dans le Sundgau, 4 à 6h de marche, 100 à 500m de montée, repas et boissons tirés du sac.

                        Rdv 7h30 hall de la gare de Mulhouse, déplacement en train (billet Pass Evasion entre 3 et 5 euros selon nombre)

                        Responsables : Françoise et Alain Fillinger (03.89.44.85.73)  

28 avril (jeudi) :  Thann (340m) - Croix du Rangen (490m) - Waldkapelle (576m) - Pastetenplatz (780m) - Camp Turenne (909m)- Rocher d’Ostein (893m) - Camp des Pyramides (780m) - Col du Krummbach (600m) - Engelsbourg / Oeil de la Sorcière (445m) - Thann. 4h-4h30 de marche  Rendez-vous 9h Eglise de Lutterbach ; 9h30 place du Bungert àThann  

mai 

1er mai              Sortie pédestre inter Vosges Trotters organisée par VTSélestat. St Hippolyte-refuge VTSélestat, 5h de 

                       marche, 500m de montée

                        Rdv 8h Place du Rattachement à Bourtzwiller, départ 9h salle des Fêtes à St Hippolyte. Contact

                        J.Battistella,           03.89.50.58.38  

8 mai       Randonnée pédestre au Brézouard. Col des Bagenelles (903m), Gd Brézouard (1229m), Petit Brézouard, Haïcot,    Bagenelles (500m de montée, 4 à 5h de marche). Repas tiré du sac soit en plein air, soit au refuge AN du Haïcot. Rdv 8h30 église de Lutterbach. Guides : Chr. et Jacques Battistella (03.89.50.58.38)   

12 mai (jeudi) :  Moosch (400m) – Schwiebach (624m) – refuge du Blaufels ( 889m) – Ferme  Rossberg (1060m) – Ferme auberge du Gsang (1080m) – abri de Kolabi (785m) – Pt 572m – Moosch par Belackerwald.  4h30 de marche  Rendez-vous 9h Eglise de Lutterbach ; 9h40 à proximité du camping de la Mine d’Argent à Moosch.

21-22 mai        Week-end de travail au refuge du Markstein   Responsable : Bruno Burgstahler (03.89.47.62.40).

26 mai (jeudi) :  Rimbach/Masevaux (600m) – Riesenwald (750m) – Lac des Perches / Sternsee (985m) – Moyenne Bers (1083m) – Lacs Neuweiher (~800m) – Ermensbach – Rimbach.  4h30 de marche  Rendez-vous 9h Eglise de Lutterbach ; 9h45 parking avant Ermensbach

juin  

4 juin (samedi) 2e sortie « surprise ». Metzeral-Wesserling, 6 à 7h de marche, 800 à 1000m de montée, repas et boissons tirés du sac.Rdv 7h45 hall de départ gare de Mulhouse, déplacement en train avec billet Pass Evasion (de 3 à 5 euros selon nombre) Guides : Françoise et Alain Fillinger (03.89.44.85.73). 

     5 juin          Marche d’orientation inter-clubs organisé par le SCCernay

                        Responsable André Doll (03.89.42.34.39)

9 juin (jeudi):  Fond du vallon de Storckensohn (651m) – Gazon vert (935m) – Rouge Gazon (1086m)  - Haute Bers (1250m) – Moyenne Bers (1083m) – Lac des Perches / Sternsee (985m) – Col des Perches (1071m) – Refuge CSAM (965m) – pt 651m.  env. 4h30 de marche   Rendez-vous 9h Eglise de Lutterbach ; 9h45 salle des fêtes de Storckensohn.           

12 juin Randonnée pédestre vallée de Ste Marie aux Mines. St Pierre l’Hate (490m, près d’Echery), Rauenthal, fontaine Hugolstein, Haïcot, Gd Brézouard (1229m), Petit Brézouard, Pierre des 3 Bans, Zillardhoff , St Pierre l’Hate (5h30 à 6h de marche, 800m de montée). Repas tiré du sac en pleine nature.

                        Rdv 8h place du Rattachement à Bourtzwiller, 9h église de St Pierre l’Hate. Guide : Lucienne Ehrlacher (03.89.71.41.49). 

23 juin (jeudi):  Urbès (456m) - Bruckenbach (535m) - Rouge Gazon (1086m) - Gazon Vert (935m) - Schagrikopf (840m) – Forst – Urbès.  env. 4h30-5h de marche Rendez-vous 9h Eglise de Lutterbach ; 9h45 à proximité camping d’Urbès.   

26 juin Tournoi de volley-ball inter-clubs au Markstein. Responsables : C. Buecher (03.89.52.05.78) et J.L Burgstahler (03.89.55.33.29)

26 juin Sortie pédestre en Forêt Noire. Todtnauberg (1000m), Stuben -wasen (1386m), Feldberg (1493m) et retour. 5h de marche, 600m de montée, repas et boissons tirés du sac. Rdv 8h Jardiland Ile Napoléon. Guide : M. Elsaesser (03.89.44.55.41)

     juillet  

3 juillet Randonnée pédestre au chalet du Markstein. Oderen (460m), Treh, Markstein (1160m), Gommrücken, Gommkopf, Uhufels, Tscharr, Oderen (5h30 de marche, 850m de montée). Repas tiré du sac au refuge VTM, possibilité de faire des brochettes.

Rdv 8h église de Lutterbach, 8h45 à Oderen, parking Salle des Fêtes. Guides : Joselyne et J.Paul Munck (03.89.39.16.55)

07 juillet (jeudi) :  Col du Bramont (956m) – Col de la Vierge (1067m) – Croix Louis (1072m) – Roche du Lac (1086 m pt de vue sur le lac des  Corbeaux ) – Collet Mansuy (1057m) –Rachute (1037m) – Col du Brabant (878m) – Refuge Louis (1040m) – Col de la Vierge – Vieille Montagne (1151m) – Altenberg (1197m) – Col du Bramont. 4h30 de marche Rendez-vous 9h Eglise de Lutterbach ; 10h Col du Bramont.

14 juillet :   Pas de sortie (fête nationale)

28 juillet (jeudi):   Col du Bramont (956m) – Col de l’Etang/Seesattel (1018m) –Rainkopf (1305m) – Rothenbachkopf (1316m) – col de l’étang – Col de Bramont par chemin Vaxelaire.  4 h30 de marche   Rendez-vous 9h Eglise de Lutterbach ; 10h Col du Bramont.

août

20-21 août Week-end pédestre dans les Alpes suisses, massif des Diablerets. Samedi : 4h30 de montée au refuge des Diablerets (2486m). Dimanche, traversée de glacier et redescente. Pour randonneurs confirmés, 15 places maximum. Inscription avant le 31 mai, avec chèque de réservation de 30 euros, auprès des guides Christianne et Jacques Battistella (03.89.50.58.38) 

27-28 août Week-end vélo dans la région des Mille Etangs (Hte Saône). Circuits de 60 et 70 km. Hébergement en ½ pension en centre de vacances. Maximum 15 participants.(détails bulletin de juin).

                        Responsables : Sylvia et J.Pierre Zimmerlin (03.89.50.38.67) et Daniel Chevallier (03.89.65.00.37)

septembre   

4 septembre Sortie pédestre dans la vallée de Munster. Col du Wettstein (880m), Hautes Huttes, Gazon du Faing (1302m), Lac Vert, Lac du Forlet, Wettstein (5h de marche, 500m de montée). Repas tiré du sac en pleine nature. Rdv 8h30 église de Lutterbach.

                        Guide : Emmanuelle Roller (03.89.77.31.48 ou 06.78.66.54.38).

10 septembre (samedi)  3e sortie surprise. Moosch, Molkenrain, Thann (4 à 6h de marche selon météo, 800 à 1000m de montée. Repas et boissons tirés du sac. Déplacement en train. Rdv 8h30 hall de la gare de Mulhouse, billet de groupe Pass Evasion (de 3 à 5 euros selon nombre).

Guides : Françoise et Alain Fillinger (03.89.44.85.73)

17-18 septembre  Week-end de travail au chalet du Markstein

Responsable Bruno Burgstahler (03.89.47.62.40)

25 septembre Randonnée pédestre au Petit Ballon. Munster (370m), Obersolberg, Erschlitt, Ried, Buchwald, Petit Ballon (1272m), Kahlerwasen, Schweng, Stemlisberg, chêne Voltaire, Munster (18km, 5h30 à 6h de marche, 900m de montée). Repas tiré du sac en pleine nature. Rdv 8h15 place du Rattachement à Bourtzwiller, 9h15 parking en face lycée Kirschleger à Munster.

                        Guide : Lucienne Ehrlacher (03.89.71.41.49)     

octobre   

2 octobre Sortie au Taennchel, le royaume des géants. Tannenkirch église, Fox Form, carrefour du brigadier Denay, rocher de la Paix d’Udine, mur païen, rocher des Titans, rocher Bellevue, rocher des Trois Grandes Tables, rocher des Reptiles, rocher des géants, Thannenkirch. Difficulté moyenne (4h30 à 5h de marche, 550m de montée). Repas tiré du sac en pleine nature.

                        Rdv 8h15 place du Rattachement à Bourtzwiller

                        Guide : Gérard Protche (03.89.52.08.26) 

8-9 octobre Week-end pédestre à Dachsberg, Forêt Noire du Sud, avec hébergement en Gasthaus (1/2 pension à 40 euros) 2 randonnées de 15km env., 5h de marche, 500-600m de montée. Inscriptions avant le 25 avril auprès du guide André Doll (03.89.42.34.39) 20 places maximum. Circulaire spéciale.

16 octobre Sortie pédestre en Forêt Noire, région de Kandern près de Lörrach. Kandern, Glashütte, Auhof, Schromuhle, cascades Hollbach, Endenburg, Kalten Brunnen, Rehhütte, Luisenhütte, Kandern. (4h30 à 5h de marche, 600m de montée, repas tiré du sac en pleine nature). Bonnes chaussures de marche, une partie d’itinéraire longeant une rivière pouvant être glissante.

                        Rdv 9h place du Rattachement à Bourtzwiller

                        Guides : Sylvia et J.Pierre Zimmerlin (03.89.50.38.67)

novembre

6 novembre     Randonnée pédestre au Vieil Armand par le versant Nord. Croix Zimmermann (Wuenheim), Hartmannswillerkopf par les vestiges de 14-18, col du Silberloch, Molkenrain, Freundstein col Amic, Kohlschlag, Croix Zimmermann (5 à 6h de marche, 600m de montée). Casse-croûte tiré du sac dans un refuge du Molkenrain. Rdv 8h30 parking Atlas Kingersheim

                        Guide : Jacques Battistella (03.89.50.58.38)

27 novembre Première sortie en ski de fond (9h 30 Markstein) resp. Marie-Dié Schlosser (03.89.77.29.77) ou randonnée pédestre                      (rdv 9h église de Lutterbach) responsable André Doll (03.89.42.34.39)

 

décembre

 

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Sauf indication contraire, le casse-croûte est tiré du sac, soit en pleine nature, soit dans un refuge ou une auberge. Pour tout renseignement complémentaire, parution d'un communiqué dans la presse locale 2 ou 3 jours avant la sortie.

NotaCes sorties s'adressent à des pratiquants réguliers, membres des VTM.

Ø      Les participants qui se rendent directement au point de départ d'une sortie, sans passer par le rendez-vous à Mulhouse, sont invités à contacter le guide la veille afin d'être prévenus d'un éventuel changement de programme.

Ø      Pour les sorties avec hébergement, merci de respecter les délais d'inscription 

 

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Annonces diverses

Sortie printanière des anciens VTM et amis

Réservez-vous le jeudi 21 avril

Magnifique promenade oxygénante et profitable à tous durant 1h30 dans le profond Sundgau.

Altenach, plateau du Seckenberg, Im Berg, Hubel seront les endroits que nous traverserons avant d'atteindre Mertzen où nous dégusterons les carpes frites habituelles.

L'après-midi, nous longerons la Largue par la piste cyclable pour retourner vers le point de départ.

10 heures: rendez-vous à Altenach sur le parking de la Maison de la Nature du Sundgau (rue Ste Barbe).

Nous slalomerons entre les troncs de la forêt du Hubel avant d'arriver au Restaurant du Moulin où nous nous régalerons de carpes frites. 

12 heures: déjeuner au restaurant où les non-marcheurs nous rejoindront.

Menu à 15,50 euros

C.F. (carpes frites et non cervelas fumés)

Frites, mayonnaise et salade mêlée

Crème caramel

Café  

15 heures: retour par la piste cyclable vers St Ulrich (village rendu célèbre par son champion cycliste prénommé Yann), puis Altenach où nous retrouverons nos voitures. 

Inscriptions auprès de:

Albert Maeder, 166 faubourg de Mulhouse, 68260 Kingersheim

Envoyez votre chèque libellé à l'ordre du "Restaurant au Moulin de Mertzen" avant le 16 avril

 

Faites passer le message et venez nombreux                                    Dr' Baeri

 

 

Monsieur et Madame……………..……….……Nombre de personnes………....

Ci-joint chèque de…………  

Marcheur/Non marcheur/Mangeur

Carpes frites / autre plat                                                          rayez la mention inutile

 

Sorties pédestres du jeudi

A l’initiative de Jean Paul Munck, des sorties pédestres seront dorénavant organisées en semaine tous les 15 jours, plus exactement les 2e et 4e jeudis de chaque mois. Ce seront des randonnées à la journée, pas trop difficiles mais pas forcément faciles, de 4h-4h30 de marche, avec une dénivellation montante moyenne, pouvant aller jusqu’à 500-600m. Elles s’adressent en priorité aux membres VTM de tous âges, mais sont ouvertes aussi occasionnellement aux amis et autres personnes. Les repas sont en principe tirés du sac, en pleine nature par beau temps, dans cabane ou ferme-auberge si la météo est incertaine.

Le rendez-vous est systématiquement fixé à 9h à l’église de Lutterbach pour les déplacements en voitures. Jean-Paul Munck (03.89.39.16.55) sera le guide principal. Il sera secondé par François Diemunsch (03.89.53.34.91) qui pourra également donner tous renseignements utiles pour les sorties.

Première randonnée programmée le 14 avril.

Souhaitons bon vent à ce nouveau cycle de sorties, dont voici le programme pour les 4 premiers mois.

 

PROGRAMME des RANDONNEES du JEUDI.

Remarques :

-          Prévoir boissons & repas tirés du sac.

-         En cas de mauvaises conditions atmosphériques les sorties seront annulées et reportées. Renseignements auprès d’un des responsables.

-         Les parcours détaillés des randonnées sont donnés à titre indicatif ; ils peuvent subir quelques modifications (les altitudes ne varient pas !) ou adaptations en fonction des conditions météo.

14 avril :  Saint-Amarin (410m) – Mülhüser Brennala (655m) – Geishouse Hoehe  - Haberkopf  (872m) – Merbaechel (725m) – Wueste Ruecken  – pt 729m – Hintervogelbach – St-Amarin  4h de marche   Rendez- vous 9h Eglise de Lutterbach ; 9h 45 Salle des fêtes de St-Amarin (centre ville).

28 avril :  Thann (340m) - Croix du Rangen (490m) - Waldkapelle (576m) - Pastetenplatz (780m) - Camp Turenne (909m)- Rocher d’Ostein (893m) - Camp des Pyramides (780m) - Col du Krummbach (600m) - Engelsbourg / Oeil de la Sorcière (445m) - Thann. 4h-4h30 de marche  Rendez-vous 9h Eglise de Lutterbach ; 9h30 place du Bungert àThann

12 mai :  Moosch (400m) – Schwiebach (624m) – refuge du Blaufels ( 889m) – Ferme  Rossberg (1060m) – Ferme auberge du Gsang (1080m) – abri de Kolabi (785m) – Pt 572m – Moosch par Belackerwald.  4h30 de marche  Rendez-vous 9h Eglise de Lutterbach ; 9h40 à proximité du camping de la Mine d’Argent à Moosch.

26 mai :  Rimbach/Masevaux (600m) – Riesenwald (750m) – Lac des Perches / Sternsee (985m) – Moyenne Bers (1083m) – Lacs Neuweiher (~800m) – Ermensbach – Rimbach.  4h30 de marche  Rendez-vous 9h Eglise de Lutterbach ; 9h45 parking avant Ermensbach

9 juin :  Fond du vallon de Storckensohn (651m) – Gazon vert (935m) – Rouge Gazon (1086m)  - Haute Bers (1250m) – Moyenne Bers (1083m) – Lac des Perches / Sternsee (985m) – Col des Perches (1071m) – Refuge CSAM (965m) – pt 651m.  env. 4h30 de marche   Rendez-vous 9h Eglise de Lutterbach ; 9h45 salle des fêtes de Storckensohn.

23 juin :  Urbès (456m) - Bruckenbach (535m) - Rouge Gazon (1086m) - Gazon Vert (935m) - Schagrikopf (840m) – Forst – Urbès.  env. 4h30-5h de marche Rendez-vous 9h Eglise de Lutterbach ; 9h45 à proximité camping d’Urbès.

 07 juillet :  Col du Bramont (956m) – Col de la Vierge (1067m) – Croix Louis (1072m) – Roche du Lac (1086 m pt de vue sur le lac des  Corbeaux ) – Collet Mansuy (1057m) –Rachute (1037m) – Col du Brabant (878m) – Refuge Louis (1040m) – Col de la Vierge – Vieille Montagne (1151m) – Altenberg (1197m) – Col du Bramont. 4h30 de marche Rendez-vous 9h Eglise de Lutterbach ; 10h Col du Bramont.

14 juillet :   Pas de sortie (fête nationale)

28 juillet :   Col du Bramont (956m) – Col de l’Etang/Seesattel (1018m) –Rainkopf (1305m) – Rothenbachkopf (1316m) – col de l’étang – Col de Bramont par chemin Vaxelaire.  4 h30 de marche   Rendez-vous 9h Eglise de Lutterbach ; 10h Col du Bramont.

 

Entraînement physique

Les entraînements hebdomadaires du mercredi soir se poursuivent à 20h au gymnase de l’école de Dornach (24 rue de Brunstatt). Les participations sont gratuites mais strictement réservées aux membres pour une question d’assurance. Responsable : Daniel Chevallier (03.89.65.00.37)

Echos

- Un "Monsieur club" (M. Boissier, des Carroz d'Arache) a été désigné à la FFS pour mieux juger ce que les associations peuvent apporter à la Fédération, et vice-versa. Une table ronde a ainsi eu lieu mi-janvier dans les Vosges, à laquelle nous avons été conviés avec une dizaine d'autres clubs. M. Boissier était ébahi de voir que chez nous la plupart des clubs ne fonctionnent pas que pour le ski, mais ont une activité toute l'année. Il était aussi étonné des nombreux déplacements que nous devons faire dans les Alpes pour la pratique du ski, en particulier de compétition.

- Continuant la progression enregistrée l'an dernier, notre trésorier-adjoint Dany Vonderscher a établi cette saison 253 titres FFS (dont 65 licences) contre 240 et 59 en 2004.

- En France, 348 millions d'euros ont été investis en 2004 pour l'amélioration des remontées mécaniques. Toujours en 2004, les recettes de ces remontées avaient battu un record avec 919 millions d'euros (618 millions en 97, mauvaise année). 2005 devrait être encore meilleure, en particulier dans les Vosges où la saison qui s'achève aura battu un record de 90 millions d'euros de chiffre d'affaire et 700000 journées-skieurs contre 650000 l'an passé.

- Au Markstein, les installations de téleskis de la Grenouillère ont été améliorées à l'automne: une nouvelle remontée et une meilleure sécurité pour une ancienne (douceur au démarrage).

- Malgré une pétition qui a circulé en automne, la station du Frentz ne verra sans doute pas la réouverture des grands téleskis, et restera limitée aux remontées du Solmont. Le département dépensera par contre 305000 euros pour l'aménagement de ce site en station familiale pour les 4 saisons.

- Le Ballon d'Alsace va bénéficier de 7 millions d'euros d'investissement en 5 ans pour améliorer les pistes de ski (canons-neige, nouveaux téleskis) et la construction d'un centre d'accueil au monument des Démineurs.

- Notre voisin André Grob (président du SCRanspach) vient à nouveau d'être sacré champion du monde de ski de fond des plus de 60 ans.

- Deux associations amies viennent de changer de président:

            - Jean Claude Wolf pour les VT Colmar (chalet Schiessrothried)

            - Daniel Goerger pour les Amis de la Nature de Mulhouse (chalet Treh)

- Comme nous en 1998, les ANMulhouse (chalet du Treh) ont demandé leur classement en refuge (et non plus hôtel) et n'accueillent plus de classes de neige.

- Les VTStrasbourg ont dû fermer leurs refuges du Champ du Feu et de la Campanule-Hohneck suite à l'avis de la commission de sécurité. Pour les mêmes raisons, le chalet des VTSélestat sera fermé jusqu'à la fin des travaux de mise en conformité prévue pour l'été 2005.

- La chapelle de la cantine Zeller (Vieil Armand) vient d'être restaurée par une équipe de bénévoles de Berrwiller

- A l'occasion du 60e anniversaire de la Libération (25-28 novembre 1944) le Club Vosgien a inauguré un sentier des libérateurs entre Etueffont et Masevaux (15km par monastère St Nicolas, chapelle Ste Catherine, Graembaechle).

- Deux nouveaux sentiers vont être balisés en 2005 par le CV de Guéwenheim: le circuit des bunkers à Burnhaupt-le-Bas et un circuit pour séniors entre Guéwenheim-Sentheim et Lauw.

- L'association "Alsace-Nature" va fêter ce printemps le 40e anniversaire de sa création; c'était à l'époque l'Association Fédérative Régionale pour la Protection de la Nature où les VTM étaient représentés (Marthe Lampel et André Doll)

- Pour cet été, l'auberge de la Fourmi (Col du Hundsruck) va s'agrandir pour offrir des chambres d'hôtel et des toilettes publiques pour randonneurs.

A l'honneur. Notre championne de ski Sabine Munck, professeur d'Education Physique et monitrice d'Etat de ski, encadre désormais une classe sportive ski-études au collège de La Bresse et entraîne à ce titre la sélection de Lorraine des benjamins (ski alpin).

            De son côté Christophe Munck vient de passer avec succès ses examens de moniteur ESF. Bravo !

- le 12 septembre est née la Confédération des randonneurs de l’espace rhénan, regroupant la Fédération du Club Vosgien, le Schwarzwaldverein , l’Odenwaldlub, le Pfälzerwaldverein, le Saarwaldverein et le Schwäbischer Albverein , soit au total 300 000 adhérents de part et d’autre du Rhin

- en raison d’importants travaux de remplacement du barrage du Neuweiher, au-dessus d’Oberbrück, les sentiers passant par ce site sont déviés jusqu’à fin 2005.

- après plus de 30 ans d’arrêt, la grande croix du sommet du Vieil Armand est à nouveau lumineuse depuis la mi-septembre.

Carnet de courses

- mars à juin 2004 : Gilbert Buecher accomplit le chemin de Saint-Jacques de Compostelle depuis l'Alsace, soit plus de 2000     km à pied, accompagné de son âne ( voir article dans la rubrique <Le Top des sorties>

- juin                 En duo avec son frère, Bernard Hurstel réalise en 10 jours la traversée pédestre des Monts du Forez et du Livradois (Massif Central).

- début août,   Gérald et Maxime (10 ans) Reygrobellet font en une semaine le Tour du Mont Blanc

- août   Dans un groupe encadré par Denis Beguin, Françoise et Jean-Pierre Weiss participent à la descente en canot-camping de la rivière « Lièvre Nord » au Québec.

- août    Chantal Erieau effectue en 15 jours la traversée pédestre d’une partie du massif du Taurus (Turquie) avec des passages à 3500m.

- août            Françoise et Alain Fillinger font en 5 jours le circuit pédestre ONF de la « Retrouvance », dans le massif du Dévoluy (près de Veynes)

- août    Annie Michaud réalise un trekking de 10 jours en Mongolie, près du désert de Gobi.

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Assemblée Générale du 26 septembre 2004

Un an après avoir fêté le 100e anniversaire de notre fondation, l’assemblée générale du 26 septembre s’est tenue au refuge du Markstein et a fait un bilan positif 

de nos activités. En présence de presque 120 membres (un record), les différents responsables ont mis l’accent sur les réussites de l’année.

Ainsi, en ski alpin, l’équipe de compétition continue de s’étoffer avec près de 30 coureurs, dont 2/3 de très jeunes, et des résultats plus que satisfaisants : 2 podiums en Coupe d’Alsace pour les jeunes (Lise Leromain et Thomas Texido), 2 podiums en Coupe des Vosges pour les masters (Pascale Kempf et François Prost-Dame), et une 12e place sur 52 au classement général des clubs, sans oublier la victoire en Coupe de France master de Michel Goldemann. La nette progression des jeunes s’est ainsi concrétisée par la sélection de 4 d’entre eux en équipe d’Alsace pour la saison 2005. De même, avec le concours actif de plusieurs parents, le staff d’encadrement et de gestion s’est élargi et structuré cette année, à la grande satisfaction des entraîneurs F. Prost-Dame et D. Rapp.

La randonnée à ski a certes pâti de l’absence de neige en début de saison, où plusieurs sorties à ski ont dû être remplacées par des sorties pédestres, mais à partir de mi-janvier une quinzaine de randonneurs nordiques a régulièrement participé aux sorties dans les Vosges, la Forêt Noire et les Alpes.

Pour les sports d’été, les 12 sorties pédestres et 2 randonnées cyclistes ont réuni en moyenne 15 à 20 participants, alors que les 2 balades pour seniors ont attiré 50 et 70 adeptes. Volley-ball, orientation et entraînement en salle ont complété le tableau des activités.

Le refuge du Markstein, ouvert à tous les randonneurs de passage, a connu une bonne fréquentation avec plus de 2000 nuitées, et a fait l’objet de nombreux travaux d’entretien avec 20 bénévoles au week-end de travail de printemps et 35 en automne. Après les importants travaux d’amélioration de ces dernières années, il a de plus été déclaré conforme à accueillir le public par une récente inspection de la commission de sécurité.

De son côté, le trésorier a apporté des bonnes nouvelles en annonçant qu’après un exercice fortement déficitaire l’an dernier (gros travaux électriques au chalet), les comptes sont redevenus excédentaires cette année.

Dans son rapport moral, le président Jean Jacques Kutyla a remercié tous les responsables et participants pour leur disponibilité qui permet au club de pratiquer de multiples activités à la fois sportives et de loisir, dans un esprit convivial et d’amitié.

Lors du renouvellement du tiers du Comité directeur, avec un chiffre record de 90 votants, 5 membres sortants (François Diemunsch, André Doll, Jean Paul Munck, Janine Spoerry, Daniel Vonderscher) ainsi que deux nouveaux (les jeunes Caroline Schmitt et Damien Burgstahler) ont été élus à la quasi unanimité pour 3 ans, assurant la continuité dans l’équipe de direction.

Puis, en guise d’apéritif, le verre de l’amitié offert par le club a été le prélude à un repas chaleureux servi au refuge à 104 convives. Merci à toute l’équipe de cuisine et de service pour avoir réussi à satisfaire tout ce monde.

                                                                                                      ad.

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  Programme des randonnées à ski de fond (sera réactualisé en décembre 2005)

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 Liste des GARDES-REFUGE
12/12/04    Denis BEGUIN ‑ Marie Rose et François ZEHLER 
19/12/04    Damien BURGSTAHLER ‑ Elisabeth et Damien SZYMANSKI 
26/12/04    Actifs de Passage ‑ Noël 
02/01/05    Actifs de Passage ‑ Nouvel An 
09/01/05    M. Thérèse et Denis GOETZ ‑ Doris et Serge PERNOT 
16/01/05    Andrée et François DIEMUNSCH ‑ Suzanne et Bertrand MINISINI 
23/01/05    Stéphanie et Jean François CALI ‑ Alain NOTTER ‑ C. Di FRANCESCO 
30/01/05    Martine et Jean GREINER ‑ Nicole SCHWEBLIN 
06/02/05    Cathy et Bruno BURGSTAHLER ‑Martine et Jean Pierre COLINET 
13/02/05    Christiane DUCLAP et Jac. BATTISTELLA‑ Elisabeth et Damien SZYMANSKI 
20/02/05    Geneviève et Jean Louis BURGSTAHLER ‑ Romain GREINER 
27/02/05    Sylvia et Jean Pierre ZIMMERLIN ‑ Denis BEGUIN 
06/03/05    Marie BURGSTAHLER et Hervé ZIPFEL ‑ Céline et Guy VITZTHUM 
13/03/05    Francine et Claude BUECHER ‑ Damien BURGSTAHLER 
20/03/05    Mélanie et Stéphane ENSMINGER ‑ Caroline et Thomas SCHMITT 
27/03/05    Actifs de Passage ‑ Pâques 
03/04/05    Francis HOCHDOERFFER 
10/04/05    Jacqueline et Claude TSCHORA 
17/04/05    Raymonde et André DOLL 
24/04/05    Charlotte et Marie-Dié SCHLOSSER 
01/05/05     M. Thérèse et Denis GOETZ 
08/05/05     Mireille et Pépi BALDECK 
15/05/05     Andrée et François DiEMUNSCH 
22/05/05     M.-Rose et François ZEHLER ‑ Patrick GARDENEY - Week End de travail 
29/05/05     Babefte et Dany VONDERSCHER 
05/06/05     Martine et Jean GREINER 
12/06/05     Marie BURGSTAHLER et Hervé ZIPFEL 
19/06/05     Christiane DUCLAP et J. BATTISTELLA‑Doris et Serge PERNOT - Tournoi de Volley 
26/06/05     Stéphanie et Jean François CALI 
03/07/05     Mélanie et Stéphane ENSMINGER 
10/07/05     Charlotte et Marie-Dié SCHLOSSER 
17/07/05      Alain NOTTER  
Nota :  Il est impératif de prendre contact avec Andrée ou François DIEMUNSCH  (03.89.53.34.91) avant son tour de garde afin de connaître l'occupation du  refuge. 
En cas d'empêchement, il vous est demandé de chercher un remplaçant. 
Vous trouverez les feuilles de garde dans le buffet de la cuisine. 
Plus aucune feuille de garde vous sera adressée pour vous rappeler votre  gardiennage. 
Toute personne souhaitant faire un tour de garde une fois de temps en temps peut  s'adresser à Jean GREINER (03.89.60.15.31). 
Un membre passif qui assure un  gardiennage se voit remettre un bon de séjour gratuit pour sa famille. 

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SKI ALPIN

Stage de la Toussaint

Malgré le mauvais temps qui sévissait sur le Sud-Est de la France, le stage de la Toussaint à Tignes s’est déroulé dans de très bonnes conditions. L’enneigement était excellent avec souvent de la poudreuse le matin (entre 2800 et 3500m), seules de fréquentes rafales de vent sont venues rappeler que la perturbation n’était pas loin. 20 jeunes VTM de 7 à 16 ans, ainsi qu’un parent et les entraîneurs, s’étaient déplacés et formaient une solide équipe.

Les 5 journées de ski ont été mises à profit pour continuer le travail technique et foncier commencé lors du stage du mois d’août à Saas Fee.

L’hébergement au centre UCPA de Val Claret a été apprécié de tous avec une qualité de repas irréprochable. Le réveil, toujours matinal (7h15) a permis de profiter au mieux du ski (de 8h45 à 13h45), puis repas chaud à l’UCPA suivi d’une sieste obligatoire. De 16h à 17h, préparation physique (surtout des étirements et de la musculation) puis de 17h à 18h30 séance de vidéo.

L’encadrement était assuré par François Prost-Dame secondé de Pascale Kempf et Dominique Rapp. Pascal Lesoille, qui a rejoint les VTM l’an dernier, a profité du stage pour s’entraîner dans le cadre de sa préparation au Monitorat. Il a également permis aux jeunes de profiter de son expérience de sportif de haut niveau (ancien cycliste avec participation au triathlon d’Embrun l’année dernière).

Les coachs ont été très satisfaits du déroulement du stage : « Nous sommes fiers de nos jeunes, car les « Mulhousiens » ou les « rouges » du fait de leur tenue, ont un comportement et un esprit reflétant parfaitement l’image de notre club qui, rappelons-le, a fêté l’an dernier son centenaire ».

Au retour à Mulhouse, pas le temps de se reposer pour les responsables : la Bourse aux skis se déroulera dans quelques jours et nécessite comme toujours une intense préparation.

                                                                                          Dominique

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Comptes-rendus de sorties     

D'abord, l'exploit et la transcendance !                                                    Caminante, no hay camino ...............        

                                      DE    WESTHALTEN   à    SANTIAGO,    AVEC   NOE,   MON   ANE      ( par Gilbert Buecher )

Quelle idée de partir avec un âne en direction de Compostelle! Comment en suis-je arrivé là? Comme pour la plupart d'entre nous, une pensée s'insère un jour dans notre esprit et s'y développe pour prendre successivement les formes de rêve, de désir, d'intention pour finalement se transformer à l'état de projet. C'est bien ça, le projet, c'est, en autre, de réaliser quelque chose d'extraordinaire, quand on est quelqu'un d'ordinaire. S'engager sur le Chemin de Saint Jacques, c'est certainement la seule aventure plus que millénaire que peut encore vivre aujourd'hui, l'homme du 21° siècle.

Aussi, je me renseigne, je dévore des dizaines de livres traitant de ce sujet, je visite la plupart des sites internet qui évoquent le Chemin, je participe à des forums ayant ce thème, j'assiste à des conférences, j'adhère à l'Association des Amis de Saint Jacques pour y échanger avec d'anciens pèlerins qui me font bénéficier de leur expérience, j'étudie les différentes voies qui sont offertes. Toutes ces démarches pour appréhender les difficultés existant sur le Camino frances notamment en matière d'hébergement et plus particulièrement encore en cette année jacquaire qu'était 2004. Fort de ces conseils, j'opte pour le camping et l'autonomie que procure ce mode d'hébergement. Seulement, voilà, ce "luxe" a une conséquence : le poids que représente tout le matériel nécessaire. Il faut trouver un porteur. Le "Carrix", je n'y crois pas, j'ai passé ma vie professionnelle entre les chariots et les caddies, je préfère un porteur moins technologique et plus naturel. Le cheval de bât, c'est trop cher et trop compliqué. C'est ainsi que je me suis orienté vers la solution d'un âne qui, lui, est un animal rustique, économique et surtout sympathique. Mais je n'y connaissais rien en âne. Je commence donc par suivre un stage d'ânier dans le Lot. Je continue par faire l'acquisition d'un âne chez un éleveur spécialisé dans la Nièvre. Il est né l'année des N (comme pour les noms des chiens ou des chats, il y a des lettres qui désignent le millésime). Cet âne au regard malicieux et au comportement rebelle, s'appellera donc Noé. Car selon l'étymologie hébraïque, Noé signifie nûah, la Paix, ou naham, il consolera (Gn 5,29). Son nom lui sera peut-être plus lourd à porter que les bagages qu'il aura sur le dos, mais il l'assumera et s'en acquittera à merveille. 

Après quelques séances d'entraînement et une traversée des Vosges de quinze jours en juillet 2003, nous sommes enfin prêts, tous les deux, ce 21 mars 2004 pour le départ. Plus d'une soixantaine d'amis et membres de la famille sont venus se joindre à Catherine, à Westhalten, pour participer à cette cérémonie de départ, où, selon la tradition, le curé du village procédait à la bénédiction du bourdon et du sac. Ca y est, le Chemin peut commencer. Environ 2.300 km en direction de cette cathédrale située tout à l'ouest de notre continent. Notre premier objectif : Vézelay, car j'ai opté pour la voie de Vézelay, sachant que celle ci est moins fréquentée que celle du Puy pour ainsi, effectuer mon pèlerinage dans la solitude recherchée. Les difficultés se présentent aussitôt : tempête de neige et de grêle, pluie, froid, chemins boueux dans lesquels les sabots de Noé s'enfoncent parfois de plus de vingt centimètres, premières ampoules malgré des Meindl bien rodées, douleurs musculaires et fatigue dues aux étapes trop longues au début. Heureusement Noé est là, je me protège derrière lui en cas de vent latéral, je l'observe et constate que même tout trempé et dégoulinant de la pluie incessante, il ne bronche pas, il ne se plaint pas, il avance régulièrement à une allure de quatre kilomètres à l'heure sans protester. Grâce à ce métronome, j'arrive à passer ces premiers jours qui sont les plus pénibles sur mon Chemin. Suivant les conseils de notre ami Roger Emmenecker qui m'avait aimablement communiqué le tracé du parcours d'Alsace à Vézelay, je m'arrête à l'abbaye Saint Joseph de Flavigny sur Ozerain, pour une retraite de trois jours au milieu des moines bénédictins. Quel bonheur et quelle exaltation de pouvoir ainsi vivre et partager avec les Frères tous les moments de la journée allant des laudes aux complies, quelle merveille ces chants grégoriens qui résonnent sous la voûte gothique de la chapelle et qui vibrent encore dans mon cœur.

Après cet enchantement, nous reprenons le Chemin par Semur en Auxois pour atteindre Vézelay la veille du dimanche de Pâques. Le printemps commence enfin à s'installer, les feuilles apparaissent aux arbres et les bourgeons des fleurs vont bientôt s'épanouir. La célébration de la résurrection dans la basilique Sainte Marie Madeleine est un événement d'une exceptionnelle beauté. Sous la nef romane plus d'un millier de fidèles se pressaient, tenant chacun dans sa main un cierge allumé, soulignant ainsi la majesté de ce lieu éternellement magique. Dans le chœur gothique immaculé de lumière, les frères et sœurs de la fraternité monastique de Jérusalem ornaient divinement de leurs chants la liturgie de ce dimanche de Pâques et le frère Patrick nous gratifiait d'une somptueuse homélie qui élevait nos cœurs dans la fraternité et dans l'Espérance. 

Dès le lundi de Pâques, nous reprenons la route par Cobigny, Préminy, en direction de Nevers avec comme prochain objectif Limoges que nous espérons atteindre le 3 mai. C'est après Saint Amand Morond, au gîte de Paul et Annie Gravost à Loye sur Arnon que j'ai rencontré mon premier pèlerin Martial, un retraité de la SNCF. Jusqu'à Ostabat je n'en rencontrerai que trois en tout. Lui, Martial, puis à la Coquille Magdaléna une flamande, marathonienne qui marchait si vite que je ne me souviens plus que de son sac à dos et plus tard, à Saint Astier, Alain, un colonel d'artillerie en retraite un peu particulier car catholique traditionaliste (et non intégriste), royaliste, anti communiste et anti franc-maçon. Celui-là je ne l'ai rencontré que deux soirs au gîte. Il avait l'intention de poursuivre jusqu'à Santiago et j'espère que pour lui le Chemin lui a un peu enlevé le bandeau que le fanatisme et l'ignorance lui avaient posé sur les yeux. 

Sur notre route d'exceptionnelles églises et chapelles romanes nous offrent leur impressionnante majesté. Il s'agit, entre autre de Neuvy Saint Sépulcre, de Bénévent l'Abbaye, de Notre Dame de Gargilesse, Saint Pierre de Solignac et bien sûr Saint Léonard de Noblat. Rapidement, peut-être trop rapidement, nous traversons le Limousin en contournant Limoges, le Périgord et Périgueux. Car Noé n'apprécie guère ces longues traversées de villes où il ne trouve pas d'herbe à brouter ou de branches d'arbre à croquer. Maintenant le printemps s'installe, les arbres ont tous retrouvé leur feuillage, les fleurs enluminent le décor, les oiseaux chantent dès le lever du soleil et enfin l'on entend à nouveau le coucou dans la forêt. C'est dans cet émerveillement, que nous parcourons plein d'allégresse l'infini des vignes de la Gironde, pour pénétrer enfin dans les Landes. Ces chemins landais sont interminablement rectilignes, monotones et fatigants. Ah ! cette étape Captieux Roquefort (dans les Landes) je m'en souviendrais comme l'une des plus pénibles. Avec ses trente trois kilomètres de ligne droite sous une température supérieure à trente degrés et avec une escorte de millier de moustiques, je me suis dit que les Landes, c'est l'enfer, mais il est vrai que je ne connaissais pas encore la méseta à ce moment là.

Bientôt nous entrons en pays de Béarn, et c'est à Argelos, à quelque distance d'Orthez que sous un ciel d'azur, j'aperçois pour la première fois la chaîne des Pyrénées avec ses pics enneigés. Une centaine de kilomètres nous en séparent encore. Que c'est impressionnant de découvrir ainsi dans sa splendeur cette barrière tant attendue et cependant si redoutée. Il va falloir traverser ce col de Roncevaux, l'instant de vérité est maintenant proche. Passé Saint Palais, j'appréhendais également la stèle de Gibraltar. Je savais qu'à cet endroit allait débouler la foule des marcheurs fréquentant le GR 65. Cette foule n'est pas composée que de pèlerins partis du Puy, il y plus de marcheurs et randonneurs qui au mieux ont démarré quelque part dans le Gers et n'ont que quelques jours de marche derrière eux. C'est eux que je redoutais. Avec mes deux mois de pérégrination solitaire, de recueillement dans le silence, de sérénité et de communion avec la nature je n'avais plus envie de me mêler avec ces randonneurs bruyants, leur téléphone portable toujours collé à l'oreille et aux conversations de Club de vacances. C'est pourtant ce à quoi j'étais condamné ce soir là, à l'étape passée à la ferme Gainako d'Ostabat. Quel choc pour moi ce dîner à plus de vingt cinq dans cette petite salle à manger. Quel niveau sonore élevé dans ces conversations au niveau extraordinairement bas. Je me suis enfui avec mon assiette pour terminer mon repas dans le pré, aux cotés de Noé, qui une fois de plus me consola et qui malgré lui me réconcilia avec l'humanité. J'ai compris que dorénavant, il y aura toujours quelqu'un devant, quelqu'un derrière et quelqu'un à coté de nous. Avec ses grandes oreilles avec lesquelles il ne fait qu'écouter, Noé m'a transmis sa formule de la sagesse : "Se taire, ….et laisser braire". Et c'est ainsi que je savourais ces derniers instants de délicieuse complicité avec mon âne. 

La montée du col de Roncevaux fut la plus belle étape de ce pèlerinage. Je craignais un peu la difficulté provenant du dénivelé important de cette étape, mais j'avais oublié que nous avions déjà deux mois de marche derrière nous et plus de mille trois cents kilomètres dans les sabots, donc, que nous étions au mieux de notre forme physique. Partis avant sept heures de Huntto nous sommes arrivés vers midi au col de Lepoeder en ayant doublé dans la montée la plupart des pèlerins qui, il est vrai, n’en étaient pour la plupart qu'à leur première étape.

C'est à l'albergue du monastère de Roncesvalles que j'entendis pour la première fois cette expression : "no tienda, no burro", ( pas de tente, pas d'âne). Jusqu'à Santiago j'entendrais cette exclamation de façon presque quotidienne. Sauf quelques à exceptions près (Cizur Menor, Rabanal et Ribadiso) on n'est pas le bienvenu en Espagne avec un âne. Cela peut aller de l'injonction simple, à la menace de faire appel à la Guardia Civil (Viana) jusqu'à l'expulsion par la police municipale (Villafranca del Bierzo). Pourquoi l'âne, qui était mon passeport de sympathie lors de toute la traversée de la France et m'a aidé à ouvrir toutes les portes, devient-il ici en Espagne quelque chose de redouté et de repoussant ? Je pense avoir trouvé la réponse dans l'explication suivante : l'époque du franquisme n'est somme toute pas si lointaine pour certaines générations. L'âne leur rappelle cette époque et symbolise ainsi la pauvreté dans laquelle vivaient la plupart des gens sous ce régime. Celui qui vient ici avec un âne leur évoque plutôt la pauvreté du SDF et risque de ressembler à un "voleur de poules". Alors qu'en France cela fait bien longtemps que le monde rural n'utilise plus les ânes pour le travail et qu'au contraire il est devenu symbole de loisirs et de sympathie.

Chemin faisant, entre Zubiri et Los Arcos je rencontre de temps en temps un couple de Français partis également de chez eux en région parisienne avec un âne bâté. Il s'agit de Jacques et Josiane avec leur ânesse Brunette. Très rapidement les relations entre Noé et Brunette prirent l'allure d'une idylle qu'il devenait difficile d'enrayer. C'est à Navarette que nous avons décidé de faire dorénavant route commune avec Jacques et Josiane et de partager ainsi à notre plus grand bonheur tous les instants du chemin, la marche quotidienne, les haltes et bivouacs du soir de même que nos réflexions de la journée. Pendant presque un mois nous avons vécu les ravissements du Camino sans en connaître les inconvénients. Les grandes villes comme Burgos et Leon étaient traversées très vite pour arriver enfin aux frontières de la Galice au Cebreiro où nous attendait une équipe de TF1 qui tournait un reportage sur le Chemin de Saint Jacques. Ce reportage est passé sur cette antenne en juillet 2004.

Puis, comme tout le monde, nous avons vécu le traumatisme provoqué par ces bornes qui tous les cinq cents mètres font le compte à rebours du Chemin restant jusqu'à Santiago. Nous décidions des étapes qui devenaient de plus en plus courtes, tant nous cherchions à retarder l'instant de l'arrivée à Santiago, signifiant également la fin de ce périple. Mais il fallait achever ce Chemin. C'est ainsi, qu'après quelques tracasseries administratives, (car on ne pénètre pas à Santiago avec un âne sans être en possession d'une autorisation dûment tamponnée par la Guardia Civil), nous posons enfin nos pieds et nos sabots sur la borne zéro de la plazza del Obradorio. Nous sommes le 7 juillet 2004 et tout est fini, consumatum est. Je n'avais plus envie d'aller jusqu'à Fisterra tel que je l'avais prévu. Catherine a fait toute cette route, avec un van attelé à la voiture, pour nous ramener en Alsace. 

Le Chemin s'arrête-t-il vraiment sur cette place de la cathédrale ? Aujourd'hui, je pense que la borne zéro ne marque pas une fin, mais un début. C'est peut-être là que le Chemin commence réellement. Tout au long de ces trois mois et demi, deux phrases ne cessaient de résonner dans ma tête. Elles m'ont été données par des amis le jour de mon départ et ont rythmé mes pas tout au long de ce parcours.  

La première, est une citation de Nicolas Bouvier que m'avait confiée une jeune femme le 21 mars : "Ce n'est pas toi qui fait le Chemin, c'est le Chemin qui te fait". Dans un premier temps, j'ai considéré cette phrase avec un peu de désinvolture car elle ressemblait trop à toutes ces phrases faciles qui deviennent rapidement des lieux communs. Tout au long de mon parcours de 2.300 km j'entendais encore cette phrase que j'appréciais avec une certaine indifférence. Je pensais à l'aspect ridicule et dérisoire de cette phrase-cliché, c'est vraiment un stéréotype. Comment cela; ce n'est pas moi qui fait le chemin ? Tous les jours c'est moi qui décide le parcours, les haltes, les repas, l'hébergement du soir, ainsi que tous les autres détails de la vie du pèlerin. Il est vrai que souvent dans les difficultés la Providence est intervenue, peut-être à mon insu, mais toujours de façon opportune. Mais cette citation de Bouvier résonnait toujours dans mes oreilles comme une fausse note, car j'étais convaincu que c'était moi qui faisais le Chemin, qui en gérais sa complexité et en assumais la responsabilité.

Finalement, ce n'est qu'une fois arrivé sur cette borne zéro que j'ai saisi le sens de cette phrase et qu'enfin je l'ai comprise et acceptée. C'est vrai, c'est le Chemin qui te fait, voire même qui te défait. Il enlève tout le superflu, tout ce que nous jugions comme indispensable et qui n'est que futilité. Enfin on approche le Vrai, l'Unique et l'Indispensable. On découvre son Etre après ce long chemin qui est en définitive un chemin intérieur qui va du moi au Soi. C'est un Chemin d'initiation véritable au quadruple plan physique, moral, philosophique et spirituel dont on ne revient pas identique à ce qu'on était au départ. Faire ce Chemin, arriver au but est un privilège qui nous crée et constitue après nous avoir reçus en cheminant. Après avoir marché si longtemps en direction de l'Occident, pour y arriver dépouillé et procédant ainsi à la mort du vieil homme sur cette borne zéro, il nous faut maintenant repartir dans l'autre sens, vers l'Est, cet Orient de l'âme. Le Chemin vers Santiago est un espace où se posent les questions, le Chemin retour est un moment où l'on y trouve les réponses. Je regrette à ce jour de ne pas être rentré à pied.

La deuxième phrase est celle qu'un ami m'a glissée dans l'oreille dans une dernière accolade. " Je te souhaite de rencontrer Dieu". Celle-ci aussi a retenti et vibré dans ma tête tout au long de ces trois mois et demi et à chacun de mes pas. Oui, j’aimerai bien Le rencontrer, mais où et comment ? Finalement je crois que je L’ai approché, car Il est venu vers moi, dans les multiples manifestations de la Providence (qu'il serait trop long d'énumérer ici), dans la pureté des églises romanes que j’ai visitées, dans la splendeur des symboles exprimés par leur statuaire, dans la Beauté de la Nature que j’ai traversée lors de sa renaissance au printemps, dans le chant du coucou que l’on entendait à nouveau dans la forêt, dans le murmure d'un ruisseau au milieu des bois, mais surtout dans la richesse et la profondeur des rencontres que j’ai effectuées. Rencontres avec ces êtres qui vivent aux bords du Chemin et qui partagent le même idéal avec les pèlerins qui défilent devant leur porte. Rencontre avec ces autres pèlerins qui cheminent tous, portés par la Foi, par l'Espérance d'un monde meilleur, par le désir d'une humanité plus fraternelle, par d'autres attentes qui leur appartiennent et que nous pressentons sans les connaître parce que tout simplement nous avons cheminé avec eux. De la magnificence de ces rencontres, je ne retiendrais qu'un seul mot : l' Amour qui s'en dégage. C'est dans ce bonheur si intense vécu sur le Chemin que s'effectue finalement la Rencontre, elle se réalise dans et par l'Amour. Amour, dans le sens de l’agapè, pour se transformer et devenir en fin : l’Amour divin.

Qu’il soit appelé pèlerinage ou chemin de Compostelle, le Chemin de Saint Jacques est un chemin initiatique, le chemin de vie propre à chacun. C’est un chemin de transformation et de construction intérieures. Transformation et construction par l’Amour. Alchimie secrète qui fait que l’on part en croyant se connaître et que l’on arrive quelqu’un d’autre. Alors, ULTREÏA, marche. On ne peut asservir l’homme qui marche.

Marche et tu verras...

Gilbert Buecher

 

Sortie retraités : Le long de l'Ill          compte-rendu suivant >>

On pourrait encadrer la dernière sortie des retraités, celle du 16 octobre de l’an III du siècle XXI, en évoquant d’abord deux belles chansons des années 50 (du siècle XX) : «  Au loin dans la plaine » (par Armand Mestral) et « Tout au long de l’Ill, le long de l’eau » (par Lily Fayol). Culture musicale oblige, nos sexagénaires et au-delà n’ont pas la mémoire aussi courte que les jeunes générations. Et pour mieux préciser le parcours pédestre, on pourrait parodier Vico Toriani qui chantait sur un vieil air de polka « Vu Luzarn nåch Weggis zua », ce qui donnerait dans le contexte alsacien «  Vu Regsa no Ansa züa ».

Toutes le difficultés du parcours avaient été soigneusement aplanies par celui qu’on appelait « il duce» (le guide, en italien), lorsque dans une première vie il était roi de Naples et qu’il chantait « O sole mio ! » C’est ainsi que l’absence de balisage Club Vosgien fut compensé par des repères bien inscrits dans le paysage : le cours de l’Ill, le fossé Vauban et le clocher de l’église d’Ensisheim. Ne subsistaient çà et là que quelques taupinières. Pas le moindre tumulus. On sait pourtant que les Celtes avaient fréquenté ces lieux bien avant les Romains et les Alamans. Ils auraient au moins pu nous laisser quelques tumulus à franchir ……..

Première rencontre : Monsieur le maréchal Sébastien Le Prestre de Vauban se tenait là près du fossé qu’il venait de faire creuser pour alimenter en eau ce qui deviendra plus au nord le canal Vauban. « Qui êtes-vous ? …. Français ou Allemands ? » s’écria-t-il d’une voix d’outre-tombe, en voyant s’approcher cette piétaille bizarrement accoutrée. Après les salutations en usage au XVIIème siècle, nous lui répondions que nous sommes de nationalité française, de régionalité alsacienne et de confédérationalité européenne. En ajoutant que nous sommes pacifistes et, qu’à l’occasion, nous voyageons sans armes d’un pays européen à l’autre et sans commettre de pillages en terre étrangère, mais en monnayant notre subsistance avec des contre-valeurs acceptées par tous. « Par les Allemands aussi ? » - « Bien sûr ! » - « Mais alors, les fortifications que je fais édifier en ce moment à Neuf-Brisach ? » - « A vrai dire, elles ne servent plus à grand’ chose depuis longtemps. Aujourd’hui on cultive des champignons dans l’obscurité des casemates. » - « Et mon canal ? » - « Oh, vous savez, c’est une rigole de plus dans notre bonne plaine d’Alsace . C’est devenu un mini-écosystème plus ou moins aquatique. Çà et là on y puise de l’eau pour la maïsiculture. » Monsieur de Vauban n’en revenait pas. Notre vocabulaire, notre aisance à passer de la langue alsacienne à la langue française, tout le surprenait. Nous prîmes congé de lui  et de son grand chapeau emplumé pour poursuivre notre chemin vers d’autres rendez-vous de l’histoire : 1492, l’année de la chute de la fameuse météorite tombée non loin de là. Mais nous n’avons rencontré ni météorite, ni survivant de cette lointaine époque. Cependant, à l’approche d’Ensisheim, on pouvait deviner l’ombre de Rodolphe de Habsbourg qui planait au-dessus de la capitale habsbourgeoise en terre alsacienne. Alberto Primero nous explique alors qu’un de ses ancêtres conçu à Ensisheim après un tournoi le rattachait directement à la dynastie des Habsbourg.

Par contre, ce jour-là, nous n’étions pas invités à la table de Rodolphe, mais plus prosaïquement à celle du chef de gare de la gare d’Ensisheim, également prénommé Rodolphe (« d’r Isebahn Dolfi »). Etonnement des uns et des autres, car point de trafic ferroviaire en ces lieux. Tout appartient au passé, ou presque : Seuls subsistent les rails et le ballast de la ligne Ensisheim-Colmar, vaguement conservés pour des raisons militaires (base aérienne de Meyenheim). Mais où sont les rails qui transportaient la potasse jusqu’à Bollwiller ? ….. et ceux du tramway qui caracolait de Mulhouse à Ensisheim jusque dans les années 50 ? Ici comme ailleurs, le XXéme siècle a vu apparaître des lignes ferroviaires, mais les a aussi vu disparaître . Est-ce à cause du restaurant de la gare ou à cause de la maquette de locomotive qui trône au prochain carrefour ? Toujours est-il que les conversations à table allaient bon train. A la fin du repas, Alberto Primero et Johannus Jacobus procédèrent à l’admission initiatique de la toute nouvelle recrue Andreus Dollus.

Pour le retour, on emprunta d’autres chemins secrets, mais toujours à peu de distance de l’Ill. Nous saluons au passage quelques volatiles du genre Ciconia ciconia, puis un peu plus loin, la confluence de la Thur avec l’Ill. Quelle Thur ? La nouvelle Thur ! « Ah, je croyais qu’elle se jette dans la Lauch avant de rejoindre l’Ill à Colmar » - « Ça, c’est l’ancienne Thur ! Oh, inextricable réseau des cours d’eau et des bras de rivières qui se joignent et se disjoignent dans notre plaine ! A propos, quand est-ce qu’on suivra le mystérieux Quatelbach, qui prend sa source ….dans un canal ?

Par un sentier dérobé, nous longeons un vaste enclos abritant en temps estival une centaine d’Homo Sapiens de la variété Nudus. Mais, contrairement aux animaux exotiques qui se laissent admirer dans les zoos, ceux-là se soustraient aux regards derrière de hautes palissades en bois. Et de toute façon, ils avaient déjà rejoint leurs cabanes d’hiver. Il ne restait que le gardien, qui, du haut de son mirador, surveille le passage des « Homo Sapiens Textilus », prêt à donner l’alerte pour éviter tout accouplement contre nature.

Sur ce, il fallait bien quitter la galerie arborée des berges de l’ Ill pour rejoindre nos carrosses, par un chemin jalonné d’énormes pissenlits.

Fin de la balade , quelques embrassades.

Automne radieux et marcheurs heureux,

Retour au présent et narrateur content.                                        F.Lutten        <<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<

 

  12au15 mars. Etincelant séiour nordique au Val d'Aoste (Italie)

Après la Maurienne, le Vercors et le col des Saisies, nous avons continué cette année à découvrir les sites nordiques des Alpes à travers un séjour à Cogne, haut lieu du ski de fond dans le riant Val d’Aoste (Italie). Cette haute vallée (1600m), où se dispute chaque année la Marciagranparadiso (45 km), est distante de moins de 400km de Mulhouse en passant par la Suisse et le col du Gd St Bernard.

Sous la houlette de Dédé, 16 randonneurs VTM, parmi lesquels Pierrot et Marie-Noëlle venus de Sallanches, se sont ainsi retrouvés dans le petit et typique hameau de Valnontey, au pied du Gran Paradiso (4061 m), célèbre entre autres pour son parc national datant de 1922. Pas étonnant alors qu’à deux pas de l’auberge, sur les versants ensoleillés, chamois et bouquetins en quête de quelques touffes d’herbe desséchée nous offraient une animation quotidienne.

Malgré le ciel bouché des deux premiers jours, nous avons randonné agréablement, avec quelquefois montées et descentes corsées, dans de hautes vallées latérales (entre 1350 et 1750m). Sur des pistes bien tracées, nous longions souvent des ruisseaux où les paquets de neige animaient chaque rocher. Nous serpentions aussi sous de hautes falaises rocheuses, où un jour le spectacle était dans les cascades de glace envahies par d'intrépides grimpeurs, et un autre jour dans les incessantes et bruyantes avalanches de poudreuse qui dévalaient les couloirs et venaient s’abattre dans le fond du vallon. Les deux derniers jours, le soleil généreux a illuminé crêtes et vallons, donnant aux regards et aux photographes d’innombrables occasions de s’extasier. En particulier, sur le chemin du retour vers Mulhouse, nous nous sommes arrêtés dans la haute vallée du Gd St Bernard, côté italien, parcourant en guise de point final des pistes de fond magistralement entretenues dans un décor étincelant et majestueux.

Ajoutez à cela que le séjour à l’hôtel était on ne peut plus agréable, avec un accueil très convivial, des repas du soir excellents, des petits déjeuners somptueux et, grâce à la maîtrise technique de Thierry, des projections de photos numériques retraçant chaque soir le déroulement de la journée, et vous comprendrez que tous les participants sont revenus la tête pleine de souvenirs enchanteurs.

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         La dernière sortie - retraités de A à Z  (7 octobre 2004)

 

A comme Albert : organisateur invétéré (du latin  «vetus» = ancien) de la sortie des vétérans (même origine). A répondu présent une fois de plus le 7 octobre. Son expert en vétérance lui a déconseillé de chercher un successeur.

B comme Bénévole : se dit de quelqu’un qui fait quelque chose parce qu’il veut bien. Exemples : un organisateur bénévole, un marcheur bénévole, un mangeur bénévole, un désigné d’office bénévole.

C comme Coucous : surnom des habitants de Pulversheim. Ils sont en litige avec ceux de Leimbach qui sont affublés du même surnom. Ce litige sera prochainement réglé par un duel qui aura lieu à l’étang du Coucou. Les Schweissdissi de Mulhouse, les Frösche de Morschwiller et les Spackwagges de Pfastatt sont autorisés à assister au duel.

D comme Dédale : réseau compliqué de chemins et de sentiers où il ne faut pas perdre les pédales quand les lièvres détalent entre les pétales.

E comme Ecomusée : lieu où convergent les convives pour se restaurer au milieu des maisons déjà restaurées.

F comme François : néoretraité de la classe 47 qui a signé un contrat de 20 ans avec le dénommé Albert (voir plus haut) pour pérenniser les traditions VTM.

G comme Gargantua, Gargamelle, Grandgousier : personnages rabelaisiens qui président parfois aux agapes de seniors (mais il y a aussi des petits appétits).

H comme Hareng cru : au menu de la sortie retraités de 2010 qui aura lieu aux Pays-Bas, sous la conduite de Sef Engels : il propose un parcours encore plus plat que celui du 7 octobre 2004.

I comme Iris : la petite présente de toutes les sorties. Taille : 30 cm, nombre de pattes : 4, pelage : frisé, âge humain en données corrigées : 77 ans.

J comme Juniors : catégorie sportive qui court plus vite que la catégorie des vétérans. Mais ces derniers marchent beaucoup plus longtemps.

K comme Kokrouri : nom du sommet de la campagne mulhousienne qu’Albert a renoncé de mettre au programme à cause de la raideur de ses pentes.

L comme Lyre : instrument de musique réputé pour donner de l’inspiration aux poètes. La poétesse et chanteuse Monique n’eut pas besoin de sortir la sienne pour nous charmer avec  les versets qu’elle compose lors de longues séances de repassage.

M comme Matinale : mot qui convient le mieux pour désigner l’heure du rendez-vous : 9 h 45 ; car si celle-ci était fixée à 9 h 00, il faudrait parler de «très matinale».

N comme Non : réponse à la question suivante : « Existe-t-il encore un endroit en Haute-Alsace qui n’a jamais été le cadre d’un sortie-retraités ou autres Wi-üssflug ?

O comme Ottobus : moyen de locomotion utilisé autrefois pour les sorties-vignoble. Comme les dégustations de vins ont été supprimées, on utilise maintenant l’auto-car.

P comme Phacochère : sanglier aquatique servi au menu avec des Knepflas. Ne pas confondre avec l’hippopotame de la Thur.

Q comme Quatre-vingts : nombre de participants qui auraient été atteint virtuellement si les désistements n’avaient fini par abaisser ce nombre à 56.

R comme Rempiler : cela fait 3 ans qu’Albert cherche un successeur. Or il vient de rempiler pour 6 ans.

S comme Sénateur : se dit du pas ou du train emprunté par les seniors. Les deux mots sont de la même famille, alors que les mots sénile, sénescent, séneçon et Sénégal ne sont pas du tout de la même famille.

T comme Thur : rivière qui n’a presque plus de secrets pour les abonnés aux sorties-retraités. Le 7 octobre ? Albert nous la fait franchir sur une passerelle en bois : cela fait longtemps que la question le thur ………. lupine.

U comme Urtica : nom scientifique de l’Ortie. On distingue deux sortes d’orties : les orties pédestres et les orties en ski.

V comme Vosgienne : race bovine montagnarde caractérisée par une robe blanche avec des taches noires. Sur le chemin entre Pulversheim et Ungersheim, nous avons rencontré la race de plaine : elle est noire avec des taches blanches.

W comme Waggis : surnom donné aux Mulhousiens par les Bâlois. A la dernière sortie, les Waggis étaient plus nombreux que les Löölis.

X comme Xundheit : exclamation que l’on pousse au moment où l’on entrechoque les verres (qui a dit les verres de lunettes ? levez le doigt !).

Y comme Yin et Yang : le 7 octobre est normalement une journée Yin, mais l’ambiance était vachement Yang.

Z comme zünftiges Zusammensein : conception alémanique du bonheur associatif d’être ensemble. Son équivalent alsacien est largement pratiqué chez les VTM-seniors.

                                                                              F. L.

Quelques adresses utiles

Président                                              Jean-Jacques KUTYLA                        06.19.01.05.75

Secrétaire                                             Jean GREINER                                    03.89.60.15.31

Trésorier                                              Jean-Paul MUNCK                        03.89.39.16.55

Trésorier adjoint (cotisations)            Daniel VONDERSCHER            03.89.44.57.61

Responsable refuge                        Bruno BURGSTAHLER            03.89.47.62.40

Réservations hébergement            François DIEMUNSCH                        03.89.53.34.91

Sport et sorties d’été                        Jacques BATTISTELLA            03.89.50 .58.38

Entraînement physique                        Daniel CHEVALLIER                        03.89.65.00.37

Ski alpin de compétition            François PROST-DAME            03.89.06.30.51

Ski de randonnée nordique            André DOLL                                    03.89.42.34.39

Bulletin                                                 Gérard PROTCHE                        03.89.52.08.26

 

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